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LES ANNÉES LYRIQUES (1957-1967)

En 1955, Marcella Maltais quitte la ville de Québec pour s'installer à Montréal. Elle se joint alors au groupe des peintres automatistes, représenté entre autres par Guido Molinari, Claude Tousignant, Marcelle Ferron et Rita Letendre. Sa peinture évolue alors vers l'abstraction. Elle expose ses toiles abstraites, peintes au couteau, dans plusieurs galeries ainsi qu'au Musée des beaux-arts de Montréal. Les critiques relient sa recherche à celle de Borduas et de Riopelle, soulignant sa force d'expression et son originalité.

En 1958, Maltais réalise un rêve et s'installe à Paris. Elle y rencontre Paul-Émile Borduas, son voisin de quartier, et les artistes du tout Paris : Jean-Paul Riopelle, Alberto Giacometti, Samuel Becket, Yves Klein, etc. Ses premières années à Paris sont entrecoupées par des séjours et des expositions au Canada. À Paris, ne disposant pas d'un atelier, elle se consacre surtout à des œuvres de petites dimensions, dessins et collages.


           "1956 fut une année de rupture. J'ai brûlé tout ce que j'ai adoré : Vermeer, Vuillard, 

           peinture du passé révolu. Toutes mes énergies se concertèrent pour éclater dans ma 

           nouvelle peinture non figurative. Cela me semblait la seule voie possible. (...) 

          J'ai peint de façon prolifique, produisant et exposant beaucoup, recueillant les 

           meilleures  critiques. (...)  À 25 ans, j'étais presque un peintre consacré ! (...) 

           Si j'avais continué ma carrière avec la même force de frappe abstraite, 

           j'aurais vite atteint à Montréal un sommet, un faux sommet : celui d'une sorte de "bonzesse", 

           un peintre officiel comblé de bourses et d'honneurs." 



          (Michel Camus, Entretien avec Marcella Maltais, Obliques, no 16-17, Éditions Borderie, 

           Nyons, France, 1978)


 
 

Galerie de photos




Black Power, 1957

Huile sur toile, 70 x 85 cm





"1956 fut une année de rupture. J'ai brûlé tout ce que j'ai adoré : Vermeer, Vuillard, peinture du passé révolu. Toutes mes énergies se concertèrent pour éclater dans ma nouvelle peinture non figurative. Cela me semblait la seule voie possible (...) J' ai peint de façon prolifique, produisant  et exposant beaucoup, recueillant les meilleures critiques."







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Sans titre, 1957

Huile sur toile




Viande de seiche, 1958

Huile sur toile, 67 x 93 cm





"À 25 ans, j'étais presque un peintre consacré! (...) Si j'avais continué ma carrière avec la même force de frappe abstraite, j'aurais vite atteint à Montréal un sommet, un faux sommet: celui d'une sorte de "bonzesse", un peintre officiel comblé de bourses et d'honneurs".











Babanoir, 1959

Huile sur toile, 81 x 65 cm




Le rouge silencieux, 1958

Huile sur toile, 70 x 102 cm




Fados, 1960

Huile sur toile, 36 x 55 cm











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